CGTN: Inwiefern stärkt die Greater BRICS den Globalen Süden?

PEKING, July 08, 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — Im Vorfeld des 17. BRICS–Gipfels in Rio de Janeiro hat die New Development Bank (NDB) Kolumbien und Usbekistan als neue Mitglieder willkommen geheißen. Diese Erweiterung unterstreicht, wie Greater BRICS, eine erweiterte, integrative Plattform, die Stimme der Entwicklungsländer verstärkt und zur Neugestaltung der globalen Governance beiträgt.

Die zunehmende Attraktivität der BRICS–Staaten ist offensichtlich. Der kürzlich erfolgte Beitritt Vietnams als Partnerland der BRICS hat die Zusammenarbeit innerhalb der Greater BRICS weiter gestärkt, da die BRICS–Familie nun wichtige Volkswirtschaften in Asien, Afrika, Lateinamerika und dem Nahen Osten umfasst, fast die Hälfte der Weltbevölkerung repräsentiert und über 50 Prozent zum globalen Wachstum beiträgt.

Ein Konzept für die Süd–Süd–Zusammenarbeit

Der chinesische Präsident Xi Jinping hat dazu aufgerufen, „neue Horizonte für eine hochwertige Entwicklung der Zusammenarbeit innerhalb der BRICS–Staaten zu eröffnen“ und positionierte den Block sowohl als „wichtigsten Kanal für die Solidarität des Globalen Südens“ als auch als „Vorreiter für eine Reform der globalen Governance“.

Der chinesische Ministerpräsident Li Qiang wiederholte diese Forderung in Rio. In seiner Rede vor der Plenarsitzung zum Thema „Frieden, Sicherheit und Reform der globalen Governance“ des 17. BRICS–Gipfels forderte Li am Sonntag die BRICS–Staaten auf, ihre Unabhängigkeit und Selbstständigkeit zu wahren und mehr Verantwortung bei der Konsensbildung und der Schaffung von Synergien zu übernehmen.

China gestaltet diese Agenda aktiv mit. Laut Li wird China in diesem Jahr ein chinesisch–BRICS–Forschungszentrum für neue produktive Kräfte einrichten. Er kündigte außerdem ein Stipendienprogramm für BRICS–Länder an, um die Talentförderung in Bereichen wie Industrie und Telekommunikation zu unterstützen.

Tatsächlich spielt China seit langem eine führende Rolle bei der Gestaltung der BRICS–Zusammenarbeit. Das Land war das erste, das das „BRICS Plus“–Modell vorgeschlagen hat, um die Reichweite der BRICS auf andere Schwellenländer auszuweiten. Dies legte den Grundstein für ein breiteres Netzwerk der Zusammenarbeit im Globalen Süden. Präsident Xi stellte außerdem eine strategische Vision für den Aufbau einer BRICS–Gruppe vor, die sich für Frieden, Innovation, grüne Entwicklung, Gerechtigkeit und einen engeren Austausch zwischen den Menschen einsetzt.

Dies sind nicht nur Ideale. China verfügt über konkrete Projekte. Als Verfechter des Friedens hat China die Initiative „Freunde des Friedens“ zur Ukraine–Krise ins Leben gerufen und zu Waffenstillständen im Nahen Osten aufgerufen. Als Entwicklungspartner hat sie die Gründung der NDB unterstützt und Kooperationszentren für KI, nachhaltige Industrie, digitale Wirtschaft und Sonderwirtschaftszonen eingerichtet. Als kultureller Vermittler fördert China Plattformen wie den BRICS–Zivilisationsdialog, die Berufsbildungsallianz und Jugendforen.

Eine aktuelle Umfrage von CGTN zeigt, dass 90,4 Prozent der weltweit Befragten die entscheidende Rolle Chinas innerhalb des BRICS–Mechanismus anerkennen und sich darauf freuen, dass China den Schwellenländern und Nationen im globalen Süden mehr Erfahrungen und Möglichkeiten für die Modernisierung zur Verfügung stellt.

Reform von Global Governance

Der Aufstieg der BRICS–Staaten bewirkt echte Veränderungen. Etwa 91,2 Prozent der internationalen Teilnehmer einer CGTN–Umfrage sind der Meinung, dass die BRICS–Staaten eine entscheidende Rolle bei der Gestaltung einer multipolaren Welt und der Förderung einer integrativen, regelbasierten Globalisierung spielen.

Der brasilianische Präsident Luiz Inacio Lula da Silva betonte am Sonntag, dass die BRICS–Mitgliedsländer mittlerweile 40 Prozent des globalen BIP erwirtschaften und mit einer Wachstumsrate von 4 Prozent im Jahr 2024 über dem globalen Durchschnitt liegen. Diese Zahlen spiegeln nicht nur die wirtschaftliche Dynamik wider, sondern auch einen strukturellen Wandel der globalen Machtverhältnisse.

Die 2015 ins Leben gerufene NDB symbolisiert diesen Wandel. Unter Hinweis auf die Aufgabe der Bank, den Globalen Süden zu unterstützen, erklärte NDB–Präsidentin Dilma Rousseff: „Einer unserer wesentlichen Unterschiede besteht darin, dass alle Mitglieder gleichberechtigt sind und jede Stimme Gehör findet.“ Die Bank hat über 120 Projekte im Wert von 40 Milliarden US–Dollar genehmigt und bietet pragmatische Lösungen in den Bereichen Trade, Infrastruktur und Finanzen.

Auf dem Gipfeltreffen in Rio haben die BRICS–Staaten gemeinsam ihre Vision für ein integrativeres, ausgewogeneres und repräsentativeres globales Governance–System zum Ausdruck gebracht. Sie verabschiedeten die Erklärung von Rio de Janeiro und bekräftigten ihr Engagement für eine vertiefte Zusammenarbeit und Reform der multilateralen Institutionen.

Premierminister Li schloss seine Rede mit einer klaren Botschaft: China ist bereit, gemeinsam mit den anderen BRICS–Staaten die globale Governance in eine gerechtere, effizientere und geordnetere Richtung zu lenken und sich gemeinsam für eine bessere Welt einzusetzen.

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CGTN : Comment les BRICS+ donnent-ils plus de pouvoir au Sud global ?

PÉKIN, 08 juill. 2025 (GLOBE NEWSWIRE) — À l’approche du 17ᵉ Sommet des BRICS+ à Rio de Janeiro, la Nouvelle Banque de Développement (NDB) a accueilli la Colombie et l’Ouzbékistan en tant que nouveaux membres. Cette expansion illustre comment les BRICS+, une plateforme élargie et inclusive, permet aux pays en développement de faire entendre leur voix et contribue à remodeler la gouvernance mondiale.

L’intérêt croissant pour les BRICS+ est manifeste. L’adhésion récente du Vietnam en tant que pays partenaire a encore renforcé la coopération au sein des BRICS+. La famille BRICS englobe désormais de grandes économies d’Asie, d’Afrique, d’Amérique latine et du Moyen–Orient, représentant près de la moitié de la population mondiale et contribuant à plus de 50 % de la croissance globale.

Une feuille de route pour la coopération Sud–Sud

Le président chinois Xi Jinping a appelé à « ouvrir un nouvel horizon dans le développement de haute qualité de la coopération élargie des BRICS+ », positionnant le groupe à la fois comme « un canal majeur de solidarité du Sud global » et comme « un fer de lance pour la réforme de la gouvernance mondiale ».

Le Premier ministre chinois Li Qiang a relayé cet appel à Rio. S’exprimant dimanche lors de la session plénière sur « la paix, la sécurité et la réforme de la gouvernance mondiale » du 17ᵉ Sommet des BRICS+, Li a exhorté les pays BRICS à défendre l’indépendance et l’autonomie, et à jouer un rôle plus actif dans la construction de consensus et de synergies.

La Chine joue un rôle moteur dans cet agenda. Selon Li, la Chine créera cette année un centre de recherche Chine–BRICS sur les nouvelles forces productives de qualité. Il a également annoncé la mise en place d’une bourse d’études destinée aux pays BRICS+, pour favoriser la formation de talents dans des domaines tels que l’industrie et les télécommunications.

En réalité, la Chine a depuis longtemps un rôle de premier plan dans le développement de la coopération BRICS+. Elle a été la première à proposer le modèle « BRICS Plus », élargissant l’ouverture du groupe à d’autres économies émergentes, jetant ainsi les bases d’un réseau plus vaste de coopération Sud–Sud. Le président Xi a également présenté une vision stratégique pour bâtir un groupe BRICS+ engagé en faveur de la paix, de l’innovation, du développement vert, de la justice et des échanges humains renforcés.

Ces ambitions ne sont pas de simples déclarations. La Chine mène des projets concrets. En tant que défenseur de la paix, elle a lancé l’initiative « Friends of Peace » (Amis de la Paix) concernant la crise ukrainienne et a appelé à des cessez–le–feu au Moyen–Orient. En tant que partenaire du développement, elle a soutenu la création de la NDB et mis en place des centres de coopération sur l’intelligence artificielle, l’industrie durable, l’économie numérique et les zones économiques spéciales. En tant que pont culturel, la Chine promeut des plateformes telles que le Dialogue des Civilisations BRICS, l’Alliance pour l’Éducation Professionnelle et les Forums de la Jeunesse.

Un récent sondage de CGTN révèle que 90,4 % des personnes interrogées dans le monde reconnaissent le rôle central de la Chine au sein du mécanisme des BRICS+ et espèrent que la Chine partagera davantage son expérience et ses opportunités avec les pays émergents et les nations du Sud global pour faciliter leur modernisation.

Réformer la gouvernance mondiale

L’essor des BRICS+ entraîne de véritables transformations. Selon un sondage CGTN, 91,2 % des personnes interrogées estiment que les BRICS+ jouent un rôle essentiel dans l’émergence d’un monde multipolaire et dans la promotion d’une mondialisation inclusive fondée sur des règles.

Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a souligné dimanche que les pays membres des BRICS+ contribuent désormais à 40 % du PIB mondial, avec un taux de croissance de 4 % en 2024, dépassant la moyenne mondiale. Ces chiffres reflètent non seulement un dynamisme économique, mais aussi un changement structurel du pouvoir mondial.

Créée en 2015, la NDB incarne ce changement. Sa présidente, Dilma Rousseff, a rappelé que la mission de la banque est de servir le Sud global : « L’une de nos différences majeures est que tous les membres sont égaux et que chaque voix compte. » La banque a approuvé plus de 120 projets d’une valeur de 40 milliards de dollars, proposant des solutions concrètes dans les domaines du commerce, des infrastructures et des finances.

Au sommet de Rio, les pays BRICS+ ont affirmé leur vision commune d’un système de gouvernance mondiale plus inclusif, équilibré et représentatif. Ils ont adopté la Déclaration de Rio de Janeiro, réaffirmant leur engagement en faveur d’une coopération approfondie et d’une réforme des institutions multilatérales.

Le Premier ministre Li a conclu son discours avec un message clair : la Chine est prête à unir ses efforts à ceux des autres pays BRICS+ pour promouvoir une gouvernance mondiale plus juste, équitable, efficace et ordonnée, œuvrant collectivement à la construction d’un monde meilleur.

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