Des combustibles fossiles vers un avenir vert : Oxford et EBC Financial Group expliquent ce qui nous retient d’agir

OXFORD, Royaume–Uni, 09 déc. 2024 (GLOBE NEWSWIRE) — Dans un monde progressivement façonné par la double crise que nous vivons actuellement, celle du changement climatique et celle de l’instabilité économique, le Département d’économie d’Oxford, en collaboration avec EBC Financial Group (EBC), a organisé une session charnière dans le cadre de la série « What Economists Really Do? » (Ce que font réellement les économistes, WERD). L’événement a rassemblé d’éminentes figures du monde universitaire et de la finance afin d’explorer des stratégies concrètes visant à aligner les systèmes économiques en matière de durabilité environnementale, tout en répondant aux préoccupations urgentes sur le plan sociétal.

L’événement, intitulé « Macroeconomics and Climate » (Macroéconomie et climat), a été inauguré par une conférence menée par le professeur agrégé Andrea Chiavari, et par une réunion–débat intitulée « Sustaining Sustainability: Balancing Economic Growth and Climate Resilience » (Soutenir la durabilité : équilibrer la croissance économique et la résilience climatique), modérée par la professeure agrégée Banu Demir Pakel. Parmi les intervenants, on peut citer la Dre Nicola Ranger, directrice du Global Finance Group de l’Environmental Change Institute et chercheuse principale à Oxford, et David Barrett, PDG d’EBC Financial Group (UK) Ltd. Ensemble, ils ont décortiqué l’intersectionnalité entre politique, finance et impact humain, et ont proposé des perspectives et recommandations pratiques allant au–delà du discours théorique.

De gauche à droite : la Dre Nicola Ranger (directrice du Global Finance Group de l’Environmental Change Institute et chercheuse principale), le professeur agrégé Andrea Chiavari (Département d’Économie), David Barrett (PDG d’EBC Financial Group [UK] Ltd) , et la professeure agrégée Banu Demir Pakel (Département d’Économie)

EBC Financial Group : encourager le trading responsable et l’innovation durable
EBC Financial Group, dont la présence sur les marchés financiers mondiaux ne cesse de croître, offre à ses clients du monde entier des opportunités de trading dans les domaines des opérations de change, des matières premières, les indices et bien plus encore, grâce à ses solutions de courtage exhaustives. EBC, qui opère auprès des principaux centres financiers et marchés émergents, dote les traders d’outils innovants et favorise la collaboration afin de relever les défis en constante évolution liés à la finance mondiale. En tant que partenaire officiel des marchés des changes du FC Barcelone et partenaire de la campagne United to Beat Malaria des Nations Unies, EBC s’engage pour un avenir défini par la durabilité, l’équité et les pratiques commerciales responsables.

La participation d’EBC à la série WERD reflète l’urgence croissante de créer un pont entre les marchés financiers et le monde de la recherche universitaire afin de relever les défis climatiques et économiques. En participant à une conversation commune visant à trouver des stratégies concrètes, EBC a rejoint une communauté de leaders d’opinion pour mettre en évidence les étapes pratiques à mettre en œuvre pour aligner les systèmes financiers en matière d’objectifs de développement durable.

Pouvons–nous poursuivre la croissance économique et sauver la planète ?
Au cœur des discussions, on s’est notamment accordé sur le fait que la sécurité financière et la sécurité environnementale constituent des préoccupations que chacun partage sur le plan universel. Le Dr Chiavari a prononcé un discours d’ouverture évocateur à propos des coûts économiques liés au changement climatique. Il a illustré la croissance spectaculaire du PIB mondial depuis la révolution industrielle et a mis cela en corrélation avec les conséquences environnementales de la consommation de combustibles fossiles et de l’augmentation des émissions de CO2. Le Dr Chiavari a souligné l’importance fondamentale du coût social du carbone dans l’élaboration de politiques efficaces.

Son message portait principalement sur le concept de coût social du carbone, qui quantifie les coûts des émissions sur le plan sociétal à plus large échelle. « Les taxes carbone ne sont pas uniquement nécessaires sur le plan environnemental, mais aussi sur le plan économique », a–t–il affirmé. Le Dr Chiavari a expliqué comment de telles mesures devraient générer les incitations économiques nécessaires pour encourager les entreprises et les particuliers à faire des choix durables. « Réfléchissez bien, » a–t–il ajouté. « Quand vous allumez le radiateur, l’avantage pour vous reste le même : vous réchauffez la pièce. En revanche, le coût est désormais beaucoup plus élevé qu’avant. »

Pour développer ce point, le Dr Chiavari a souligné que les taxes carbone sont conçues pour cibler les émissions de carbone plutôt que la consommation d’énergie en elle–même. « Les taxes carbone sont un impôt sur le carbone, pas sur l’énergie, » a–t–il expliqué. « Par conséquent, cela crée d’énormes incitations pour que le secteur privé, pour que les individus comme vous et moi, passent de la consommation de combustibles fossiles à des sources d’énergie alternatives. Il n’est pas seulement question de réduire l’énergie ou la production ; il s’agit de créer d’énormes incitations pour se tourner vers des sources d’énergie alternatives. »

En partant de ce postulat, la réunion–débat modérée par la Dre Banu Demir Pakel, s’est penchée plus en détail sur les aspects pratiques que supposerait l’alignement de la croissance économique sur la résilience climatique.

Construire un pont entre politique, finance et mesures à travers un débat avec différents points de vue
La réunion–débat s’est penchée sur les interactions complexes entre la croissance économique et la résilience climatique. Chaque intervenant a apporté son expertise propre à la conversation, et de nouvelles perspectives sur la manière dont les systèmes mondiaux peuvent s’adapter à ce double impératif.

Le Dr Chiavari a insisté sur l’aspect mondial de la lutte contre le changement climatique. Il a notamment souligné le fait que les émissions transcendent les frontières et nécessitent une réponse internationale coordonnée. Il a évoqué les risques de fuite de carbone, dans les cas où des politiques climatiques strictes au sein d’un pays pourraient conduire à un déplacement des émissions vers des régions aux réglementations plus laxistes, ce qui compromettrait les progrès réalisés à l’échelle mondiale. Pour atténuer ce problème, le Dr Chiavari a plaidé en faveur de politiques encourageant la collaboration et l’innovation sur le plan international, afin de s’assurer que les transitions vers des pratiques durables sont à la fois équitables, et globales.

La Dre Ranger a mis l’accent sur les opportunités économiques susceptibles d’émerger de la prise de mesures climatiques, et a déclaré : « Il ne s’agit pas seulement de coûts, mais aussi d’opportunités. » La Dre Ranger a également souligné l’importance de revoir le discours public, en précisant que la lutte contre les risques climatiques avait le potentiel d’être associée à la création d’emplois et à la stimulation de la croissance économique. Elle a insisté sur le fait qu’une action climatique efficace pouvait favoriser l’innovation et le progrès, sans pour autant représenter une charge financière importante. Elle se positionne également en faveur de réorienter les subventions aux combustibles fossiles et autres subventions qui nuisent à l’environnement, et qui représentent, à l’échelle mondiale jusqu’à 7 000 milliards de dollars par an, vers des investissements verts, comme les énergies renouvelables.

Fort de son expérience approfondie des marchés financiers, Barrett a souligné l’importance d’aligner les mesures d’incitations fondées sur les lois du marché sur les objectifs en matière de développement durable. Il a offert une évaluation honnête des défis qui se présentent dans ce secteur au moment de faire le choix de la durabilité, et a mis l’accent sur le fait que les institutions financières sont motivées par le profit : « Les marchés financiers sont mus par le besoin de faire du chiffre, que ce soit pour ses actionnaires ou ses investisseurs. » Barrett a insisté sur le fait que les gouvernements devaient impérativement créer des cadres réglementaires applicables. Il a précisé que l’alignement était indispensable pour canaliser l’influence du secteur et ainsi entraîner une action climatique significative.

Au sujet des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (Environmental, Social, and Governance, ou ESG), Barrett a exprimé ses inquiétudes quant à leur mise en œuvre actuelle, déclarant que « les critères ESG ressemblent désormais davantage à un exercice de cases à cocher ». Il a appelé à mettre en œuvre des politiques plus fortes qui garantissent la responsabilisation des acteurs et génèrent un impact mesurable, et ne se contentent pas uniquement de respecter des normes superficielles.

Au moment d’évoquer les « clubs climat », Barrett a mis en avant les risques liés à la fragmentation des efforts mondiaux. « Pour que ces initiatives soient fructueuses, tous les acteurs principaux doivent être inclus, » a–t–il signalé. « Sans cela, les réductions d’émissions réalisées dans certaines régions pourraient être neutralisées par une augmentation des émissions à d’autres endroits. » Il a précisé que cela pourrait compromettre les progrès collectifs nécessaires pour relever les défis climatiques.

Quelles mesures pratiques les gouvernements, entreprises et particuliers doivent–ils prendre pour bâtir un avenir économique durable qui semblerait réalisable et sûr pour chacun ?

La modératrice et les participants au débat ont été interrogés séparément afin d’approfondir cette question cruciale. Ils ont eu l’occasion d’apporter leurs différents points de vue quant aux rôles collaboratifs que les gouvernements, entreprises et particuliers pourraient jouer afin de relever les défis climatiques.

Le rôle des gouvernements : politiques et planification
La Dre Demir Pakel a souligné l’importance de l’éducation et de la prise de conscience dans la lutte contre le changement climatique. Elle a particulièrement insisté sur le rôle des gouvernements pour stimuler le changement. « Le rôle des gouvernements est de commencer par encourager une plus grande prise de conscience », a–t–elle expliqué, notant la nécessité d’une éducation précoce quant aux conséquences du changement climatique. Elle a souligné le besoin de politiques qui favorisent non seulement le secteur privé, mais guident également les comportements des consommateurs. « Nous parlons d’un réseau complexe dans lequel les gouvernements ont la responsabilité majeure de planifier et de guider l’action à tous les niveaux, » a–t–elle indiqué.

« Le secteur privé a besoin d’incitations pour agir, car il aura assurément une vision à plus court terme que le gouvernement. C’est donc les comportements qui doivent changer, et le gouvernement a ici un autre rôle à jouer : mettre en œuvre des politiques visant à changer les comportements du secteur privé et des consommateurs », a–t–elle ajouté.

Mesures d’incitation fondées sur les lois du marché et taxes carbone
Le Dr Chiavari a insisté sur la nécessité d’interventions gouvernementales, notamment via les taxes carbone, afin de corriger les défaillances du marché. Selon lui, en intégrant le coût sociétal associé des émissions aux prix de l’énergie, les gouvernements peuvent encourager des décisions de consommation et d’investissement plus responsables.

Changer le discours : une transition positive
La Dre Ranger est revenue sur les défis actuels en matière d’action climatique, rappelant qu’une partie importante du problème réside dans la prise de conscience. « Il y a actuellement quelque chose qui ne va pas, et je pense que cela est lié en grande partie au problème de la prise de conscience », a–t–elle déclaré. « Les gouvernements jouent un rôle, mais ils agissent fondamentalement sur les points en fonction desquels les citoyens votent. L’absence de prise de conscience quant aux avantages immédiats que représenterait une transition énergétique verte, notamment en matière de sécurité énergétique et de santé publique, constitue actuellement un problème majeur. »

Ranger s’est élevée contre le fait que le discours autour du changement climatique ces dernières années a échoué, en présentant cette initiative comme un défi coûteux et fastidieux. « Le discours tourne essentiellement autour du fait qu’il va falloir beaucoup d’argent pour gérer tout cela. Je m’oppose à ce point de vue, et les preuves dont nous disposons ne permettent d’ailleurs pas de l’étayer. Il va de soi que nous devons prendre des décisions difficiles, mais nous savons aussi qu’à l’heure actuelle, c’est notre façon d’aborder la question qui complique les choses. Plus particulièrement, le manque de certitude de la part du gouvernement quant à ses politiques bloque les investissements et augmente les coûts. Toutes les données montrent qu’en mettant en place les politiques adéquates et en fixant un cap clair pour les investisseurs, une transition équitable constitue à la fois la voie la moins coûteuse mais aussi la plus bénéfique », a–t–elle déclaré.

Elle a insisté sur le fait que rediriger les subventions aux combustibles fossiles pourrait servir de catalyseur pour une transition positive. « À l’échelle mondiale, nous injectons des sommes d’argent colossales dans les subventions aux combustibles fossiles ; les estimations varient d’ailleurs entre cinq et sept mille milliards de dollars par an. Si on y mettait un terme et que l’on investissait cet argent dans les technologies propres, le problème serait déjà résolu. »

Pour répondre à ce problème, Ranger a appelé à un changement dans le discours public afin de mettre l’accent sur les opportunités économiques inhérentes à l’action climatique. Elle a insisté sur le rôle du monde universitaire et des experts dans la transformation du discours, et a déclaré : « Nous devons nous assurer que les gens comprennent qu’il s’agit d’une transition positive. Grâce à une bonne politique gouvernementale, l’impact sur les particuliers sera minime, et pourrait en réalité contribuer à la croissance de l’emploi et à l’innovation. »

Ranger a conclu en exhortant les gouvernements à prendre l’initiative de transformer ce discours : « Ce que j’aimerais vraiment, c’est que les gouvernements soutiennent cette initiative et disent : ‘Écoutez, voilà ce qui va se passer, et ça vous sera favorable. C’est la marche à suivre, et c’est nécessaire à la fois pour les investisseurs et pour le grand public’. »

Le rôle des entreprises et des particuliers : prise de responsabilité et innovation
Barrett a donné un point de vue honnête sur le rôle des entreprises et des particuliers dans l’action climatique. Il a insisté sur le fait que le secteur de la finance est par nature tourné vers le profit, et a prévenu qu’il n’entreprendrait pas des efforts de développement durable en l’absence de cadres réglementaires clairs. « Les marchés financiers n’entameront pas cette démarche seuls. Il faut les inciter à agir, » a–t–il déclaré. « Une fois que le secteur de la finance s’oriente sur un cap particulier et qu’un thème le motive particulièrement, il a la capacité d’accomplir des choses incroyables, mais pour y parvenir, une politique et des incitations claires sont nécessaires. »

Barrett a également évoqué le rôle des particuliers en tant qu’électeurs et consommateurs, insistant sur le fait que leurs choix peuvent influencer de manière significative les politiques et le comportement des entreprises. « Les politiques doivent faire bien mieux pour apprendre aux électeurs les objectifs qu’elles souhaitent atteindre, et la façon dont ils peuvent être atteints », a–t–il indiqué. En donnant la priorité aux pratiques durables et en tenant les décideurs politiques pour responsables, les particuliers peuvent entraîner un changement systémique.

Malgré ses critiques envers les mesures superficielles comme les critères ESG qu’il qualifie de « cases à cocher », Barrett a démontré qu’il conservait une vision optimiste quant au potentiel du secteur de la finance. « Le secteur de la finance peut se montrer incroyablement innovant », nous a–t–il confié. « Il peut déplacer des montagnes et résoudre de vrais problèmes, mais pour cela, des incitations adéquates et de conversations honnêtes sur les enjeux sont nécessaires. » Il a appelé au changement, en laissant derrière nous les cycles politiques à court terme au profit de stratégies tournées vers l’avenir, et exhorté tous les acteurs impliqués à s’engager dans les efforts à long terme nécessaires pour faire face efficacement à la crise climatique.

Pour regarder la session complète de l’épisode « Macroeconomics and Climate » (Macroéconomie et climat) du WERD, notamment discours d’ouverture et la réunion–débat, rendez–vous sur : https://youtu.be/MD5vaMjQdkc.

À propos d’EBC Financial Group
Fondé dans le prestigieux quartier financier de Londres, EBC Financial Group (« EBC ») est réputé pour sa gamme complète de services qui comprend le courtage financier, la gestion d’actifs et des solutions d’investissement globales. EBC Financial Group a rapidement établi sa position en tant que société de courtage d’envergure mondiale, avec une forte présence sur des hubs financiers majeurs tels que Londres, Hong Kong, Tokyo, Singapour, Sydney, les Îles Caïmans ainsi que sur les marchés émergents d’Amérique latine, d’Asie du Sud–Est, d’Afrique et d’Inde. EBC s’adresse à une clientèle diversifiée d’investisseurs de détail, professionnels et institutionnels aux quatre coins du monde.

Reconnu par de multiples récompenses, EBC est fier de respecter les plus hauts niveaux de normes éthiques et de réglementation internationale. Les filiales d’EBC Financial Group sont réglementées et agréées dans leurs juridictions locales. EBC Financial Group (UK) Limited est réglementé par la Financial Conduct Authority (« FCA ») du Royaume–Uni, EBC Financial Group (Cayman) Limited est réglementé par la Monetary Authority (« CIMA ») des Îles Caïmans, et EBC Financial Group (Australia) Pty Ltd et EBC Asset Management Pty Ltd sont réglementés par la Securities and Investments Commission (« ASIC ») australienne.

Au cœur d’EBC Group sont réunis des professionnels chevronnés, forts de plus de 30 ans d’expérience marquée dans des institutions financières majeures, ayant habilement traversé des cycles économiques majeurs, des accords du Plaza à la crise du franc suisse de 2015. EBC défend une culture où l’intégrité, le respect et la sécurité des actifs de ses clients priment et veille à ce que chaque engagement d’investisseur soit traité avec tout le sérieux qu’il mérite.

EBC est Partenaire officiel des marchés des changes du FC Barcelone, et propose des services spécialisés en Asie, Afrique, Amérique latine, Océanie et au Moyen–Orient. EBC est également partenaire de United to Beat Malaria, une campagne de la Fondation pour les Nations unies dont l’objectif est d’améliorer les résultats en matière de santé mondiale. Depuis février 2024, EBC accompagne la série d’engagement public « What Economists Really Do » du Département d’Économie de l’Université d’Oxford, visant à démystifier l’économie et son application aux grands défis de société afin d’améliorer la compréhension et le dialogue avec le public.

https://www.ebc.com/

À propos du Département d’Économie
Le Département d’Économie d’Oxford est un centre d’excellence mondialement reconnu, qui abrite l’une des plus grandes communautés d’économistes universitaires au monde. Réputé pour la grande portée et la diversité de ses recherches, qui influencent considérablement les politiques, le Département est également reconnu pour sa communauté dynamique de jeunes chercheurs et ses programmes de premier cycle et des cycles supérieurs très prestigieux. En 2024, le Département d’Économie a été classé premier par le journal The Guardian pour l’enseignement de premier cycle au Royaume–Uni. Ce classement reflète l’engagement continu du Département envers un enseignement et une recherche d’excellence, et renforce ainsi sa position parmi les premiers départements d’économie à travers le monde. Au–delà des réalisations pédagogiques, l’objectif du Département est d’être à la tête de recherches révolutionnaires et innovantes dans le domaine de l’économie ; d’avoir un impact durable sur la politique économique en dehors du monde universitaire ; et de développer et de former la prochaine génération de chercheurs et de leaders de la recherche.

À propos What Economists Really Do (WERD)
WERD est un programme de sensibilisation géré par le Département d’Économie de l’Université d’Oxford pour encourager l’étude de l’économie et informer sur « Ce que font réellement les économistes. » Sur des thèmes jets allant de la crise climatique à la discrimination sur le marché du travail, les économistes d’Oxford collaborent avec les gouvernements et les entreprises du monde entier afin d’améliorer les politiques et de contribuer à ce que l’économie fonctionne mieux pour chacun. Découvrez comment l’économie peut être utilisée pour mettre en lumière certains des plus grands problèmes auxquels la société est confrontée actuellement dans le cadre de cette série de webinaires publics à succès, qui revient pour sa quatrième saison en 2024 et 2025.

Interlocutrice auprès des médias :
Savitha Ravindran
Responsable des relations publiques internationales (Europe, Moyen–Orient, Afrique et Amérique latine, Amérique latine)
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Chyna Elvina
Responsable des relations publiques internationales (Asie–Pacifique et Amérique latine)
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Douglas Chew
Directeur des relations publiques internationales
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GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 9316026)

Von fossilen Brennstoffen zu einer grünen Zukunft: Stellungnahme von Oxford und der EBC Financial Group über unsere Hinderungsgründe

OXFORD, Vereinigtes Königreich, Dec. 09, 2024 (GLOBE NEWSWIRE) — In einer Welt, die zunehmend von den beiden Krisen des Klimawandels und der wirtschaftlichen Instabilität geprägt ist, hat das Department of Economics der Oxford University in Zusammenarbeit mit der EBC Financial Group (EBC) eine wichtige Sitzung im Rahmen der Veranstaltungsreihe „What Economists Really Do?“ (Was machen Ökonomen wirklich?, kurz: WERD) durchgeführt. Die Veranstaltung brachte führende Köpfe aus der Wissenschaft und dem Finanzwesen zusammen, um umsetzbare Strategien zur Ausrichtung von Wirtschaftssystemen auf ökologische Nachhaltigkeit zu erforschen und gleichzeitig drängende gesellschaftliche Probleme anzugehen.

Die Veranstaltung mit dem Titel „Macroeconomics and Climate“ (Makroökonomie und Klima) umfasste eine Grundsatzrede von Associate Professor Andrea Chiavari und eine Podiumsdiskussion mit dem Titel „Sustaining Sustainability: Balancing Economic Growth and Climate Resilience“ (Nachhaltigkeit erhalten: Wirtschaftswachstum und Klimaresilienz ins Gleichgewicht bringen), die von Associate Professor Banu Demir Pakel moderiert wurde. Zu den Diskussionsteilnehmern gehörten Dr. Nicola Ranger, Director der Global Finance Group des Environmental Change Institute und Senior Research Fellow an der Oxford University, und David Barrett, CEO der EBC Financial Group (UK) Ltd. Gemeinsam analysierten sie die Schnittstelle zwischen Politik, Finanzen und menschlichen Auswirkungen und boten praktische Einblicke und Empfehlungen, die über den theoretischen Diskurs hinausgehen.

Von links nach rechts: Dr. Nicola Ranger (Director der Global Finance Group des Environmental Change Institute und Senior Research Fellow), Associate Professor Andrea Chiavari (Department of Economics), David Barrett (CEO der EBC Financial Group (UK) Ltd) und Associate Professor Banu Demir Pakel (Department of Economics)

EBC Financial Group: Förderung von verantwortungsvollem Handel und nachhaltiger Innovation
Die EBC Financial Group, die auf den globalen Finanzmärkten zunehmend präsent ist, bietet Kunden weltweit über ihre umfassenden Maklerlösungen Möglichkeiten für den Handel mit Devisen, Rohstoffen, Indizes u.v.m. Die an den wichtigsten Finanzzentren und aufstrebenden Märkten tätige EBC stattet Händler mit innovativen Tools aus und fördert die Zusammenarbeit, um den im Wandel begriffenen Herausforderungen der globalen Finanzwelt zu begegnen. Als offizieller Devisenpartner des FC Barcelona und Partner der Kampagne „United to Beat Malaria“ (Gemeinsam gegen Malaria) der United Nations setzt sich die EBC für eine Zukunft ein, die von Nachhaltigkeit, Gerechtigkeit und verantwortungsvollen Handelspraktiken geprägt ist.

Die Teilnahme von EBC an der WERD–Veranstaltung spiegelt die wachsende Dringlichkeit wider, eine Brücke zwischen Finanzmärkten und akademischer Forschung zu schlagen, um klimatische und wirtschaftliche Herausforderungen anzugehen. Durch die Beteiligung an einem gemeinsamen Dialog über umsetzbare Strategien hat sich die EBC einer Gemeinschaft von Vordenkern angeschlossen, die praktische Schritte zur Ausrichtung der Finanzsysteme auf die Ziele der nachhaltigen Entwicklung in den Fokus rücken.

Können wir die Wirtschaft ankurbeln und gleichzeitig den Planeten retten?
Im Mittelpunkt der Diskussionen stand die Erkenntnis, dass finanzielle und ökologische Sicherheit universell geteilte Anliegen sind. Dr. Chiavari hielt eine aufschlussreiche Grundsatzrede über die wirtschaftlichen Kosten des Klimawandels. Er veranschaulichte das dramatische Wachstum des globalen BIP seit der industriellen Revolution und stellte dieses dem ökologischen Tribut gegenüber, den der Verbrauch fossiler Brennstoffe und die steigenden CO2–Emissionen fordern. Chiavari betonte die entscheidende Bedeutung der sozialen CO2–Kosten bei der Gestaltung wirksamer politischer Maßnahmen.

Im Mittelpunkt seiner Botschaft stand das Konzept der sozialen CO2–Kosten, das die weit gefassten gesellschaftlichen Kosten von Emissionen quantifiziert. „Die Besteuerung von Kohlenstoff ist nicht nur eine ökologische Notwendigkeit, sondern auch eine wirtschaftliche“, unterstrich er. Dr. Chiavari erklärte, wie solche Maßnahmen die erforderlichen wirtschaftlichen Anreize schaffen könnten, um sowohl Unternehmen als auch Privatpersonen zu nachhaltigen Entscheidungen zu bewegen. „Denken Sie doch einfach an Ihr eigenes Leben“, fügte Chiavari hinzu. „Wenn Sie die Heizung aufdrehen, profitieren Sie wie bisher von einem wärmeren Raum. Aber jetzt sind Ihre Kosten viel höher als zuvor.“

Dr. Chiavari ging näher auf diesen Punkt ein und betonte, dass die Kohlenstoffbesteuerung darauf abzielt, die Kohlenstoffemissionen und nicht den Energieverbrauch selbst zu senken. „Die CO2–Steuer besteuert Kohlenstoff, nicht Energie“, erklärte er. „Sie schafft also enorme Anreize für den Privatsektor, für die Menschen, für Sie, für uns, für mich, von fossilen Brennstoffen auf alternative Energiequellen umzusteigen. Es geht nicht nur darum, die Energie oder Leistung zu reduzieren, sondern es werden auch enorme Anreize geschaffen, auf alternative Energiequellen umzustellen.“

Aufbauend auf dieser Grundlage befasste sich die Podiumsdiskussion unter der Leitung von Dr. Banu Demir Pakel eingehender mit den praktischen Aspekten der Ausrichtung des Wirtschaftswachstums auf Klimaresilienz.

Brücken schlagen zwischen Politik, Finanzwesen und Maßnahmen durch ein Podium mit unterschiedlichen Perspektiven
Die Podiumsdiskussion untersuchte das komplexe Zusammenspiel zwischen Wirtschaftswachstum und Klimaresilienz. Alle Diskussionsteilnehmer brachten ihr eigenes Fachwissen in die Diskussion ein und eröffneten neue Perspektiven, wie globale Systeme an diese beiden Notwendigkeiten angepasst werden können.

Dr. Chiavari betonte, dass der Klimawandel ein globales Problem sei, da Emissionen nicht an Landesgrenzen haltmachten und eine koordinierte internationale Reaktion erforderten. Er erörterte die Risiken der Verlagerung von CO2–Emissionen, bei der strenge klimapolitische Maßnahmen in einem Land dazu führen könnten, dass Emissionen in Regionen mit weniger strengen Vorschriften verlagert werden, was letztlich den globalen Fortschritt untergraben würde. Um diesen Effekt abzumildern, setzte sich Chiavari für Richtlinien ein, die internationale Zusammenarbeit und Innovation fördern und sicherstellen, dass der Übergang zu nachhaltigen Praktiken sowohl gerecht als auch umfassend abläuft.

Dr. Ranger hob die wirtschaftlichen Chancen hervor, die sich aus Klimaschutzmaßnahmen ergeben können, und erklärte: „Es geht nicht nur um Kosten, es geht um Chancen.“ Dr. Ranger erläuterte das Potenzial zur Schaffung von Arbeitsplätzen und zur Ankurbelung des Wirtschaftswachstums bei gleichzeitiger Bekämpfung von Klimarisiken und betonte außerdem, wie wichtig es sei, die öffentliche Wahrnehmung neu zu justieren. Sie betonte, dass wirksame Klimaschutzmaßnahmen Innovation und Fortschritt fördern können, ohne eine erhebliche finanzielle Belastung darzustellen. Sie setzte sich auch dafür ein, Subventionen für fossile Brennstoffe und andere umweltschädliche Subventionen, die sich weltweit auf bis zu 7 Bio. USD pro Jahr belaufen, in grüne Investitionen wie erneuerbare Energien umzuleiten.

Barrett nutzte seine umfassende Erfahrung auf den Finanzmärkten und betonte, wie wichtig es sei, Marktanreize mit Nachhaltigkeitszielen in Einklang zu bringen. Er teilte eine offene Einschätzung zu den sektoralen Herausforderungen bei der Akzeptanz von Nachhaltigkeit mit und betonte den gewinnorientierten Charakter von Finanzinstituten: „Der Finanzmarkt wird von der Notwendigkeit angetrieben, Geld zu verdienen – sei es für seine Aktionäre oder Investoren.“ Barrett betonte die dringende Notwendigkeit für Regierungen, durchsetzbare regulatorische Rahmenbedingungen zu schaffen, und wies darauf hin, dass dies unerlässlich sei, um den Einfluss des Sektors auf sinnvolle Klimaschutzmaßnahmen auszurichten.

Zum Thema der Rahmenbedingungen für Umwelt, Soziales und Verwaltung (Environmental, Social, Governance; ESG) äußerte Barrett Bedenken hinsichtlich der jeweiligen aktuellen Umsetzung und merkte an: „ESG ist zu einer reinen Pflichtübung geworden.“ Er forderte strengere Richtlinien, die die Rechenschaftspflicht gewährleisten und messbare Ergebnisse liefern, anstatt lediglich oberflächliche Compliance–Standards zu erfüllen.

Während einer Diskussion über Klima–„Clubs“ wies Barrett auf die Risiken fragmentierter globaler Maßnahmen hin. Er warnte: „Damit diese Initiativen erfolgreich sind, müssen alle wichtigen Akteure einbezogen werden. Andernfalls könnten die in einigen Regionen erzielten Emissionssenkungen durch erhöhte Emissionen an anderer Stelle wieder aufgehoben werden.“ Dies, so warnte er, könnte den kollektiven Fortschritt untergraben, der notwendig sei, um die Herausforderungen des Klimawandels zu bewältigen.

Welche praktischen Maßnahmen sollten Regierungen, Unternehmen und Privatpersonen ergreifen, um eine nachhaltige wirtschaftliche Zukunft zu schaffen, die für alle erreichbar und sicher ist?

Der Moderator und die Diskussionsteilnehmer wurden unabhängig von der Veranstaltung interviewt, um diese entscheidende Frage zu vertiefen und verschiedene Perspektiven auf die Rolle von Regierungen, Unternehmen und Privatpersonen bei der Bewältigung von Klimaherausforderungen aufzuzeigen.

Die Rolle der Regierungen: Politik und Planung
Dr. Demir Pakel betonte die Bedeutung von Bildung und Sensibilisierung bei der Bekämpfung des Klimawandels, insbesondere die Rolle der Regierungen bei der Herbeiführung eines Bewusstseinswandels. „Die Aufgabe der Regierung besteht darin, zunächst das Bewusstsein zu schärfen“, erklärte sie und betonte die Notwendigkeit einer frühzeitigen Aufklärung über die Folgen des Klimawandels. Sie betonte die Notwendigkeit von Richtlinien, die nicht nur Anreize für den Privatsektor schafften, sondern auch das Verbraucherverhalten lenkten, und bemerkte: „Es handelt sich um ein komplexes Netzwerk, in dem die Regierungen die Hauptverantwortung für die Planung und Steuerung von Maßnahmen auf allen Ebenen tragen.“

„Der Privatsektor braucht Anreize, um aktiv werden zu können, denn im Vergleich zur Regierung wird definitiv eine kurzfristigere Perspektive eingenommen. Daher muss das Verhalten des Privatsektors geändert werden. Und der Regierung fällt noch eine weitere Aufgabe zu: die Umsetzung von Richtlinien, um das Verhalten des Privatsektors wie auch der Verbraucher zu ändern“, fügte sie hinzu.

Marktanreize und CO2–Besteuerung
Dr. Chiavari betonte die Notwendigkeit staatlicher Interventionen, insbesondere durch CO2–Steuern, um Marktfehler zu korrigieren. Er erklärte, dass Regierungen durch die Einbeziehung der sozialen CO2–Kosten in die Energiepreise verantwortungsvollere Konsum– und Investitionsentscheidungen fördern können.

Das Narrativ verändern: Ein positiver Wandel
Dr. Ranger reflektierte über die aktuellen Herausforderungen im Klimaschutz und betonte von Neuem, dass ein wesentlicher Teil des Problems im Bewusstsein liege. „Im Moment läuft etwas schief, und ich denke, dass es dabei vor allem um die Bewusstseinsbildung geht“, bemerkte sie. „Regierungen spielen eine Rolle, sie verfolgen im Grunde genommen aber eine Politik, die stimmen fangen wird. Und das mangelnde Bewusstsein für die unmittelbaren Vorteile einer Umstellung auf grüne Energie – für die Energiesicherheit und öffentliche Gesundheit – ist derzeit ein zentrales Problem.“

Ranger kritisierte, dass das Narrativ des Klimawandels in den letzten Jahren gescheitert wäre, da dieser als kostspielige und belastende Herausforderung dargestellt worden sei. „Das Narrativ lautet insbesondere, dass die Bewältigung dieser Angelegenheit viel Geld kosten wird. Ich stimme dieser Ansicht nicht zu und die Beweise sprechen dagegen. Wir stehen vor schwierigen Entscheidungen, aber wir wissen, dass die Art und Weise, wie wir derzeit an die Sache herangehen, die Lage nur noch verschlimmert – insbesondere die ungewisse Regierungspolitik bremst die Investitionen und erhöht die Kosten. Alle Fakten deuten darauf hin, dass ein gerechter Übergang sowohl die geringsten Kosten verursacht als auch mehr Nutzen bringt, wenn wir die richtigen politischem Maßnahmen umsetzen und den Investoren einen klaren Weg aufzeigen“, sagte sie.

Sie wies auf Subventionen für fossile Brennstoffe hin und betonte, wie deren Umlenkung einen positiven Wandel beschleunigen könnte. „Wir pumpen weltweit so viel Geld in Subventionen für fossile Brennstoffe – die Schätzungen reichen von fünf bis sieben Billionen Dollar pro Jahr. Wenn man das stoppen und in saubere Technologien investieren würde, hätten wir das Problem gelöst.“

Um dieses Problem anzugehen, forderte Ranger eine Neuausrichtung des öffentlichen Diskurses, um die wirtschaftlichen Chancen hervorzuheben, die mit Klimaschutzmaßnahmen verbunden sind. Sie betonte die Rolle von Akademikern und Experten bei der Schaffung eines neuen Narrativs, und sagte: „Wir müssen dafür sorgen, dass die Menschen verstehen, dass dies ein positiver Wandel ist. Durch eine gute Regierungspolitik werden die individuellen Auswirkungen unerheblich sein und würden sogar das Beschäftigungswachstum und die Innovation fördern.“

Ranger schloss mit der Aufforderung an die Regierungen, bei der Änderung dieses Narrativs voranzugehen, und erklärte: „Was ich mir wirklich wünschen würde, ist, dass sich die Regierungen dem Thema annehmen und erklären, was die Folgen sind. Was die individuellen Vorteile des Klimaschutzes sind. Welcher Weg zu gehen ist. Das ist es, was sowohl Investoren als auch die Öffentlichkeit brauchen.“

Die Rolle von Unternehmen und Privatpersonen: Verantwortung und Innovation
Barrett gab einen ehrlichen Einblick in die Rolle von Unternehmen und Privatpersonen beim Klimaschutz. Er betonte die Gewinnorientierung des Finanzsektors und warnte davor, dass dieser ohne klare regulatorische Rahmenbedingungen keine Nachhaltigkeitsbemühungen herbeiführen würde. „Die Finanzmärkte werden das nicht von alleine tun. Sie benötigen Handlungsanreize“, erklärte er. „Wenn der Finanzsektor erst einmal in eine Richtung gelenkt wurde und sich für ein Thema begeistert, kann er Unglaubliches erreichen, aber es bedarf klarer Richtlinien und Anreize, um dieses Ziel zu erreichen.“

Barrett reflektierte zudem über die Rolle des Einzelnen als Wähler und Verbraucher und betonte, dass individuelle Entscheidungen erheblichen Einfluss auf die Politik und das Verhalten von Unternehmen ausüben könnten. „Die Politik muss die Wähler viel besser darüber aufklären, welches Ziel erreicht werden soll und welche Maßnahmen diesbezüglich zu erwarten sind“, bemerkte er. Privatpersonen können einen systemischen Wandel vorantreiben, wenn sie nachhaltige Praktiken priorisieren und die politischen Entscheidungsträger in die Verantwortung nehmen.

Barrett kritisierte zwar oberflächliche Maßnahmen wie Pro–forma–ESG–Rahmenbedingungen, blieb aber optimistisch, was das zukünftige Potenzial des Finanzwesens angeht. „Das Finanzwesen hat eine unglaubliche Innovationskraft“, bemerkte er. „Es kann Berge versetzen und echte Probleme lösen, doch es bedarf der richtigen Anreize und ehrlicher Gespräche darüber, was auf dem Spiel steht.“ Er forderte eine Abkehr von kurzfristigen politischen Zyklen und eine Hinwendung zu zukunftsorientierten Strategien und appellierte an alle Beteiligten, sich den langfristigen Maßnahmen anzunehmen, die für eine wirksame Bekämpfung der Klimakrise erforderlich sind.

Die vollständige Sitzung der WERD–Ausgabe „Macroeconomics and Climate“ (Makroökonomie und Klima) einschließlich der Grundsatzrede und der Podiumsdiskussion können Sie sich unter https://youtu.be/MD5vaMjQdkc anschauen.

Über die EBC Financial Group
Die EBC Financial Group (EBC) wurde im renommierten Londoner Finanzdistrikt gegründet und ist für ihr umfassendes Dienstleistungsangebot bekannt, das Finanzmaklergeschäfte, Vermögensverwaltung und umfassende Investitionslösungen umfasst. EBC hat sich in kurzer Zeit einen Namen als globales Maklerunternehmen gemacht und ist an wichtigen Finanzzentren wie London, Hongkong, Tokio, Singapur, Sydney, den Cayman Islands und in Schwellenmärkten in Lateinamerika, Südostasien, Afrika und Indien stark vertreten. Die EBC bedient eine vielfältige Klientel, die aus Kleininvestoren, professionellen Investoren und institutionellen Investoren aus aller Welt besteht.

Die EBC wurde mehrfach ausgezeichnet und rühmt sich der Einhaltung der höchsten ethischen Standards und internationalen Vorschriften. Die Tochtergesellschaften der EBC Financial Group sind in ihren jeweiligen lokalen Rechtsprechungen reguliert und lizenziert. Die EBC Financial Group (UK) Limited wird von der britischen Financial Conduct Authority (FCA) reguliert, die EBC Financial Group (Cayman) Limited wird von der Cayman Islands Monetary Authority (CIMA) reguliert, die EBC Financial Group (Australia) Pty Ltd und die EBC Asset Management Pty Ltd werden von der australischen Securities and Investments Commission (ASIC) reguliert.

Den Kern der EBC Group bilden erfahrene Fachleute mit mehr als 30 Jahren fundierter Erfahrung in großen Finanzinstituten, die geschickt durch bedeutende Wirtschaftszyklen navigiert sind, vom Plaza Accord bis zur Schweizer Frankenkrise 2015. Die EBC setzt sich für eine Kultur ein, in der Integrität, Respekt und die Sicherheit des Kundenvermögens an erster Stelle stehen, und stellt sicher, dass jedes Engagement eines Anlegers mit der größten Ernsthaftigkeit behandelt wird, die es verdient.

Die EBC ist der offizielle Devisenpartner des FC Barcelona und bietet spezialisierte Dienstleistungen in Regionen wie Asien, LATAM, dem Nahen Osten, Afrika und Ozeanien. Die EBC ist auch Partner von United to Beat Malaria, einer Kampagne der United Nations Foundation zur Verbesserung der globalen Gesundheitslage. Ab Februar 2024 unterstützt die EBC die Reihe „What Economists Really Do“ (Was Ökonomen wirklich tun) des Department of Economics der Oxford University, in der die Wirtschaftswissenschaften entmystifiziert und auf wichtige gesellschaftliche Herausforderungen angewandt werden, um das öffentliche Verständnis und den Dialog zu verbessern.

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Über das Department of Economics
Das Oxford Department of Economics ist ein weltweit anerkanntes Kompetenzzentrum, das eine der größten wirtschaftswissenschaftlichen Gemeinschaften der Welt beherbergt. Der Fachbereich ist für seine profunde und vielfältige Forschung bekannt, die maßgeblichen Einfluss auf die Politik hat, und wird zudem für seine dynamische Gemeinschaft von Nachwuchswissenschaftlern und seine hoch angesehenen Bachelor– und Masterstudiengänge gefeiert. Im Jahr 2024 wurde das Department of Economics vom The Guardian zur besten Lehranstalt im Vereinigten Königreich für das Grundstudium gekürt. Dieser Rang spiegelt das kontinuierliche Engagement des Fachbereichs für Exzellenz in Lehre und Forschung wider und untermauert seine Position als eine der führenden Wirtschaftsfakultäten der Welt. Über die Erfolge in der Lehre hinaus ist es das Ziel des Fachbereichs, transformative und innovative Wirtschaftsforschung zu betreiben, einen nachhaltigen Beitrag für die Wirtschaftspolitik außerhalb der akademischen Welt zu leisten und die nächste Generation von Forschern und Forschungsleitern auszubilden.

Über What Economists Really Do (WERD)
WERD ist ein Aufklärungsprogramm des Department of Economics der Oxford University, das für das Studium der Wirtschaftswissenschaften begeistern und „What Economists Really Do“ verbreiten soll. Wirtschaftswissenschaftler aus Oxford arbeiten mit Regierungen und Unternehmen auf der ganzen Welt an Themen zusammen, die von der Klimakrise bis hin zu Diskriminierung auf dem Arbeitsmarkt reichen, um die Politik zu verbessern und eine bessere Wirtschaft für das Gemeinwohl zu ermöglichen. In dieser erfolgreichen öffentlichen Webinar–Reihe, die 2024–25 zum vierten Mal stattfindet, erfahren Sie, wie einige der größten gesellschaftlichen Probleme der Gegenwart wirtschaftswissenschaftlich beleuchtet werden.

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GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 9316026)